Il était brun, le teint basané
Le regard timide, les mains toutes abîmées
Il taillait la pierre fils d'ouvrier
Il en était fier, mais pourquoi vous riez?
Non ne le jugez pas
Vous qui ne connaissez pas
Les vertiges et le labeur
Vous êtes faussement heureux, vous troquez vos valeurs
Lui il est tout mon monde et bien plus que ça
Seule je crie son nom quand vient le désarroi
Et puis tout s'effondre quand il n'est plus là
J'aimerais tellement lui dire mais je n'ose pas
Lui qui me faisTourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
Dans le vide, vide, vide
Tourner, tourner dans le vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)Qui peut bien me dire, ce qui est arrivé?
Depuis qu'il est parti, je n'ai pu me relever
Ce n'est plus qu'un souvenir, une larme du passé
Coincée dans mes yeux, qui ne veut plus s'en aller
Oh non ne riez pas
Vous qui ne connaissez pas
Les vertiges et la douleur
Ils sont superficiels, ils ignorent tout du cœur
Lui c'était tout mon monde, et bien plus que ça
J'espère le revoir là-bas dans l'au-delà
Aidez-moi tout s'effondre puisqu'il n'est plus là
Sais-tu mon bel amour, mon beau soldat
Que tu me faisTourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, tu me fais tourner
Dans le vide, vide, vide
Tourner, tourner dans le vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)
(Tourner dans le vide)